LA PRESSE EN PARLE…
                

RETOUR DE FESTIVALS


GÉNÉRATION SPEDIDAM
La Spedidam met en valeur et accompagne au cours de la saison 2014-2017 de son dispositif « Génération Spedidam » quinze artistes de toutes générations qui ont en commun un talent de rayonnement international, un goût de la recherche et un sens affirmé de la relation entre l’artiste et le public.

ANTOINE HERVIER : L’AMOUR DU SWING

Pianiste complet doublé d’un organiste de talent, Antoine Hervier affectionne le jeu en trio. Un format dans lequel il fait montre d’un sens du swing redoutable, auquel il ne se prive pas d’associer des invités fameux, tels que Didier Lockwood ou Géraldine Laurent.

« Il aime jouer sans filet, improviser librement. On en sort grandi et expérimenté.  » De qui Antoine Hervier parle-t-il en termes si admiratifs ? Du violoniste Didier Lockwood qui a donné, l’été passé, plusieurs concerts avec son trio. « Il aime partager, c’est aussi mon état d’esprit », souligne-t-il encore, à propos d’une rencontre musicale qui devrait se concrétiser prochainement en studio. S’il s’entend si bien avec le violoniste, c’est que tous deux partagent un même enthousiasme pour le swing, jazz familiers, et s’engagent à tour de rôle dans des chorus échevelés.

DE SÉRIEUX MENTORS
Cette culture, Antoine Hervier l’a forgée dans les clubs de jazz parisiens où il a « fait le métier » auprès de musiciens tels que le batteur Philippe Combelle ou le contrebassiste Pierre Michelot, mais aussi, plus jeune, au contact de figures qu’il a fréquentées en voisin, dans la Vienne : Maurice Vander, chez qui il a passé des heures à travailler le piano, et Eddy Louiss qui a encouragé sa vocation à l’orgue. « Parfois échanger quelques paroles avec un musicien de ce calibre, cela vaut tous les cours du monde ! », confie celui qui est désormais aussi à l’aise au piano qu’au Hammond B3. À la tête d’un trio qu’il forme avec le contrebassiste Guillaume Souriau et le batteur Vincent Frade, trio soudé par le nombre des années, le pianiste cultive son propre répertoire, entre compositions personnelles et standards revisités. Un trio dans lequel il accueille des invités de taille, comme Géraldine Laurent, Nicolas Folmer ou les violonistes Costel Nitescu et Fiona Monbet, quand il ne se plaît pas à célébrer le talent d’Oscar Peterson dont il est un admirateur inconditionnel… et un émule assurément de haut vol !

   Vincent Bessières, La Terrasse, Novembre 2016 / N° 248



ANTOINE HERVIER TRIO A MARCIAC LE 1ER  /08/2016

Antoine Hervier, pianiste connu et reconnu (…), se produisait (…) à Marciac (…). En effet, ce pianiste joue souvent en trio (…) mais il assure aussi l’accompagnement pour de nombreux solistes de passage. Ce musicien est un pianiste au phrasé inventif avec un grand sens du tempo qui se rapproche d’illustres aînés comme Maurice Vander ou Georges Arvanitas . Il sait, par ailleurs, écrire des arrangements subtils pour les thèmes qu’il interprète avec son trio. Le concert qu’il donna fut captivant du début à la fin et de nombreux festivaliers le découvrirent à cette occasion.

Guillaume Souriau à la contrebasse est un musicien tout en phrasés limpides (…).Le batteur, Vincent Frade, joue aussi fort bien les différents tempos et forme avec ses deux compagnons un trio vraiment soudé. Le répertoire est fort bien choisi et permet à chaque instrumentiste de se mettre en valeur tout au long du concert . Antoine Hervier devrait revenir à Marciac dans les prochaines années car il a su convaincre les nombreux amateurs présents ce jour-là.

   Jean-Luc Martin, jazzaseizheur, 29 août 2016


MUSIQUE AU COEUR
Antoine Hervier. (…). Ce pianiste de talent joue avec les plus grands noms du jazz. Humble et réservé, il est insatiable lorsqu’il s’agit de parler de musique. Un héritage transmis par son père, son premier modèle.

(…). Un concentré d’amour déversé sur quelques portées. Le musicien compose et interprète toujours avec son cœur et ses tripes. Si l’on ferme les yeux et l’on écoute attentivement, on peut deviner les sentiments qui se cachent derrière chaque mélodie. « On joue comme on se sent. Si on essaie de camoufler ses émotions, cela sonne faux », (…). Il y a tout juste un an, il a remporté, avec son trio, le Prix International d’orchestre de jazz du Trophée Matmut. (…). « Le bagage technique doit être un outil au service de la musique et de l’inspiration personnelle. On communique avec le public lorsqu’on joue. Et je n’ai pas envie de discuter de la pluie et du beau temps », argue-t-il. (…). Les qualités professionnelles du pianiste sont connues et reconnues. Il s’est produit dans de grands orchestres parisiens et au côté d’artistes prestigieux, comme Didier Lockwood (…). Son talent est aujourd’hui incontesté, même si le premier concerné affirme « en apprendre tous les jours ». « Je suis un artiste et un homme épanoui, mais on ne cesse jamais de progresser. Il y a toujours quelque chose à découvrir et c’est justement cela qui est passionnant ! »
Antoine Hervier ne se lasse jamais d’évoquer son amour pour la musique. Elle le berce depuis sa plus tendre enfance. (…).
   Florie Doublet, 7 à Poitiers, du 8 au 14 juillet 2015.


ANTOINE HERVIER TRIO (…) A L’ESPACE BERNARD GIRAUDEAU A LA ROCHELLE LE 10/10/2015
Il revenait au trio du pianiste Antoine Hervier de conclure la soirée avec une invitée de premier plan, la saxophoniste Géraldine Laurent. Antoine Hervier est un pianiste de qualité que je connais depuis fort longtemps et il m’a toujours surpris par ses capacités d’adaptation à différents contextes du jazz aux formes les plus classiques au jazz assez contemporain. Il joue bien et il faut aussi réaffirmer ici qu’il possède un jeu très mélodique qui lui permet d’accompagner de nombreux solistes et vocalistes. Il était accompagné par le contrebassiste Guillaume Souriau et le batteur Vincent Frade avec lesquels il forme un trio soudé et rodé à tous les climats sonores. (…)
    Jean-Luc Martin, jazzaseizheur le 16 octobre 2015

Jazz en Comminges, Antoine Hervier Trio (…) par Jacques Aboucaya
(…) Saint-Gaudens, Parc des expositions, 14 mai.
Est-ce la présence de caméras de télévision venues immortaliser le concert ? Le présentateur souligne l’événement et invite l’assistance à se manifester. Histoire de prouver qu’elle est une composante importante du spectacle. Docile, elle s’exécute. Se montre ce soir particulièrement chaleureuse et réactive. Prodigue, d’un bout à l’autre, d’applaudissements, souvent justifiés, au demeurant. D’abord, parce que le trio d’Antoine Hervier mérite un tel enthousiasme.
Hervier est un pianiste complet. A l’ancienne, serait-on tenté d’écrire, à savoir que sa main droite n’est pas atteinte d’hypertrophie, que la gauche joue pleinement son rôle et que, de cet équilibre, de cette manière de dialectique, jaillit un swing constant. Vélocité, imagination, fluidité du discours, audace harmonique, contrôle des dynamiques, il navigue quelque part entre Bud Powell et Oscar Peterson. Du second, il a arrangé plusieurs thèmes, Sushi, qui figure dans l’album « Live At The Blue Note » (1990),  ou encore Cakewalk, tiré de « Nigerian Marketplace » (1981) et repris souvent en concert par le pianiste canadien. Quant au premier, son esprit plane sur l’ensemble d’un répertoire largement emprunté au bop et au hard bop, duBillie’s Bounce parkérien au Moanin’ de Bobby Timmons. A quoi il convient, pour être complet, d’ajouter Watch What Happens, que son auteur Michel Legrand enregistra, entre autres, avec Peterson en 1984, et une ballade, Clara, de la plume du leader. Quant à Guillaume Souriau et Vincent Frade, à la fois sobres et efficaces, leur tandem fonctionne comme une mécanique bien huilée, l’un et l’autre ayant l’occasion de se mettre en valeur au cours de soli où se révèlent toutes leurs qualités.
Cerise sur le gâteau, si l’on ose dire, Géraldine Laurent. C’est une invitée de luxe qui s’insère si aisément, si naturellement au groupe qu’elle en devient une pièce essentielle. Il est vrai qu’elle n’est pas en territoire inconnu et que sa collaboration avec Antoine Hervier, concrétisée en 2011 par l’album « Juste à l’heure », n’est pas nouvelle. (…) 
    Jacques Aboucaya, Jazz Magazine le 15 mai 2015.

«(…), Antoine Hervier, pianiste et organiste connu et reconnu, qui se produit au côté d’artistes aussi prestigieux que Didier Lockwood, Costel Nitescu, Fiona Monbet, Stochelo Rosenberg, Thomas Dutronc, Maurice Vander, Marcel Azzola…, la liste est loin d’être exhaustive, (…). Cet habitué des grandes scènes vient ce soir, avec une véritable perle, Géraldine Laurent, une saxophoniste parmi les plus douées de sa génération. (…) »
     Charente libre (du 6 décembre 2013)  

«(…). L’ambiance a été très « club rive gauche », vendredi, (…), où le trio d’Antoine Hervier, avec Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade à la batterie, a fait monter l’ambiance au fil des titres. D’Oscar Peterson à Sony Rollins, le répertoire a été d’une technicité redoutable, ponctué de références glissées comme autant de clins d’œil au public. 
Les compositions d’Antoine Hervier, comme le « Thème for Clara », écrit pour sa fille, ont donné à la soirée une « blue note » très personnelle, jusqu’au magistral « Moanin’ » qui a valu aux musiciens un rappel dans une ambiance chaleureuse. (…).
CD « Juste à l’heure » Le trio, que Rhoda Scott qualifie de « dream team », propose « Juste à l’heure », un CD édité par Cristal Records. (…) » 
     Sud Ouest ( du 18 mars 2013) 
« (…). Considéré comme l’un des plus grands pianistes de sa génération, Antoine Hervier a commencé ses études de piano à l’âge de 5 ans. Doté d’une solide formation musicale, il a suivi plusieurs stages nationaux et internationaux et, depuis 1993, s’est produit dans de nombreuses formations. 
L’ambiance des grands clubs L’Olympia, le New Morning, le Petit Journal Montparnasse, le Bilboquet, le Caveau de la Huchette, le Sunset… Autant d’endroits qui ont accueilli l’artiste, avec sa formation ou en compagnie de Marcel Azzola, Johnny Griffin, Thomas Dutronc, Didier Lockwood… Depuis 1996, le trio, composé d’Antoine Hervier au piano, Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade à la batterie, maîtrise un répertoire riche : Oscar Peterson, Miles Davis, Charlie Parker, Bill Evans, sans oublier les compositions personnelles d’Antoine Hervier, qui font l’objet de plusieurs albums. (…) » 
     Sud Ouest (du 13 mars 2013) 

« Antoine Hervier Trio
(…) Les Picto-Charentais ont la chance d’héberger dans leur région un pianiste de réputation nationale, régulièrement salué par ses pairs. On a pu l’entendre auprès des plus grands : Didier Lockwood, Marcel Azzola, Costel Nitescu, Johnny Griffin, etc. Précis, éloquent, son jeu privilégie la mise en place, la clarté et le swing. Le répertoire de son trio s’appuie sur l’histoire de cette musique et de ses héros, de Junior Mance, Oscar Peterson, Bud Powell à Wayne Shorter, Miles Davis en passant par Ahmad Jamal ou Bill Evans, auxquels s’ajoutent, bien évidemment, ses propres compositions. »
      Jazz au phare ( du 15 août 2012) 

« Bel après-midi de jazz !Le quartet a fait vibrer la collégiale.Dimanche, l’association Gabriel Fauré proposait « Antoine Hervier Trio invite Géraldine Laurent », un groupe de jazz enthousiasmant. (…). Au programme, Antoine Hervier, fondateur du trio et du quartet, lui-même pianiste reconnu, imprègne de sa forte personnalité musicale l’interprétation des standards qu’il alterne avec bonheur avec des compositions originales. (…). »    
       Nouvelle République (de Mars 2010) 

« Antoine Hervier Trio 
(…) Antoine Hervier produit un jazz véritablement cousu main, couvrant avec santé toute l’étendue de son clavier, dans d’énergiques improvisations. Ses compositions personnelles, comme « My Queen of heart » alternent avec des tubes immortels (…) Sa brillante technique et son imagination dans les improvisations, alliées à un sens exact du tempo, font de ses concerts des moments de jubilation et d’enthousiasme que le public n’hésite pas à partager. (…) »
        Ouest France (de 2009)

« (…) Marcel Azzola, (…) accordéoniste dont la réputation n’est plus à faire, Marc Fosset, brillant guitariste et Antoine Hervier ont subjugué le public par l’excellence de leur dialogue musical (…). »
         Nouvelle République (de septembre 2009)

« Jazz de talent 
(…) Antoine Hervier et Géraldine Laurent en concert (…) 
Reconnu par ses pairs comme « l’un des plus brillants pianistes de jazz de sa génération, au phrasé riche et inventif, doué d’un grand sens du tempo », Antoine Hervier s’est produit aux côtés d’artistes prestigieux tels que Didier Lockwood, Thomas Dutronc, Marcel Azzola, Marc Fosset, Johnny Griffin,… dans de nombreux festivals nationaux et internationaux comme Enghien jazz festival, la fête du jazz de Paris…, au Maroc, en Belgique, en Israël. Son dernier disque avec Costel Nitescu est en hommage à Stéphane Grappelli. Quant à Géraldine Laurent, sax alto, elle est la Révélation Jazz de Juan les Pins 2006 (…) ». 
        Centre Presse (de mai 2009)

« Du grand et beau jazz
Jeudi soir, la qualité et le talent étaient au rendez-vous pour la deuxième soirée jazz (…) Epoustouflant Antoine Hervier au piano,(…) »
          Nouvelle République (du 19 mai 2009)

« Du jazz tonique avec le Trio Hervier
(…) Le dortoir des moines accueillait, vendredi, Antoine Hervier, jeune pianiste et organiste (…) et ses complices, Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade à la batterie (…) le trio a distillé une musique tonique, entre swing et latin jazz, alternant compositions de Dizzy Gillespie, entre autres, et créations personnelles. La très large part d’improvisation des musiciens et l’énergie qu’ils insufflent (…) ont su conquérir un public de connaisseurs. »
           Michel Roger – la Nouvelle République (du 15 janvier 2008)

« Antoine Hervier et son quartet a donné la mesure de son talent de pianiste d’exception, en accord parfait avec ses musiciens Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade à la Batterie. »
           Centre Presse (du 21 juillet 2007)

« Musicien de talent que les adhérents ont eu le plaisir de redécouvrir à l’orgue après l’avoir déjà entendu au piano (…) Antoine Hervier, que ce soit au piano ou à l’orgue, il allie toujours un sens puissant de la mélodie, du contre-chant derrière ses complices, le tout avec une complicité parfaite avec ses deux partenaires. Et le tout avec le sourire. »
            R. Goutmann (d’octobre 2007)

« (…) Ce sont des mélodies jazz du très talentueux «  Antoine Hervier Trio » qui ont ravi l’auditoire. Crée en 1996, le groupe a déjà écumé nombre de festivals de jazz et de clubs parisiens. Interprétant standards et compositions originales, ce trio de choc témoigne d’une grande personnalité et distille un jazz tonique au phrasé riche et inventif (…) »
    Centre Presse (d’août 2006 )

« (…) De grands noms du jazz actuel comme Maurice Vander, Manuel Rocheman, Benoït Sourisse ou encore Hervé Sellin, ne tarissent pas d’éloges sur ce pianiste dont ils soulignent le phrasé riche et inventif, et son grand sens du rythme. »
    Jean-Charles Teissier – La Nouvelle République (d’août 2006)

«  Antoine Hervier produit un jazz véritablement cousu main, couvrant avec santé toute l’étendue de son clavier, dans d’énergiques improvisations (…) un public nombreux »
    Ouest France (du 18 janv.2006)

«  Le public très nombreux a apprécié le jeu éblouissant du pianiste Antoine Hervier, son immense talent dans tout le nuancier des musiques de jazz (…) grands moments musicaux (…) »
    Alain Rabeau – Centre Presse (du 03 août 2005)

« (…) Une soirée jazz qui a permis à quelques 350 personnes d’apprécier un concert en plein air d’une exceptionnelle qualité. (…) Standards de jazz, swing, be bop, compositions originales, solos époustouflants. »
    René Girard – La Nouvelle République (du 02 août 2005)

«  Prodigieux trio ! »
    Michel Lacroix – La Nouvelle République (du 8 juillet 2005)

« (…) Avec le prometteur Antoine Hervier, nous eûmes une musique les plus jazz de ce festival. »
    Jazz Hot (Frameries Jazz Festival 2001)

CHRONIQUES DISQUES :

 
« Juste à l’heure » 
« Le swing est en lui ! Le pianiste et organiste Antoine Hervier, accompagné de son trio, délivre avec « Juste à l’heure » une musique élégante et énergique.
Son choix de répertoire est également admirable, mélangeant compositions personnelles et thèmes de Robert Schumann ou Dizzy Gillespie, Astor Piazzola, aussi bien que des standards américains.
Aussi à l’aise à l’orgue qu’au piano, l’ancien pensionnaire de l’Ecole Nationale de Musique de Châtellerault, bien entouré par des musiciens inspirés, apporte une musique à personnalité unique. La participation du violoniste Costel Nitescu et de la saxophoniste Géraldine Laurent apporte encore d’autres couleurs et d’autres énergies à cet album que l’on écoute du début jusqu’à la fin avec un bonheur égal.
« Juste à l’heure » Antoine Hervier Trio – Cristal records »
     Vivre en Vienne – Conseil Général de la Vienne (de juillet – août 2012)

« Jazz : Antoine Hervier trio & Guests, Juste à l’heure – (Cristal records) 
Le pianiste et organiste poitevin Antoine Hervier a le sens du swing : ce nouvel opus plein d’énergie en donne encore la preuve. Il est accompagné, en plus de son habituel trio (lui au piano, Guillaume Souriau à la contrebasse, Vincent Frade à la batterie), par le violoniste Costel Nitescu et la saxophoniste alto Géraldine Laurent (…).
Si les références d’Hervier s’appellent Bud Powell et Oscar Peterson, il propose ici un mélange de compositions personnelles et de thèmes de Robert Schumann, Dizzy Gillespie ou Astor Piazzola, ainsi que des standards américains. Le jazz des années 40 et 50 est célébré de fort belle manière, avec un art du tempo et de l’improvisation qu’on ne peut que saluer ! »
     RMPA ( de janvier 2011)

« Jazz, Antoine Hervier joue et marque
Robert Schuman aurait sans doute été surpris du vigoureux traitement qu’Antoine Hervier (ne pas confondre avec Antoine Hervé) administre à son Kinderszenen opus 15 en ouverture de son deuxième album. Il aurait eu tort de se plaindre, car l’enthousiasme du pianiste est revigorant. Tous ceux qui ont aimé Tommy Flanagan, Hank Jones ou Oscar Peterson par exemple en trouveront ici l’esprit, car cet album en trio (avec Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade à la batterie) respire le plaisir de jouer, outre qu’il témoigne d’une belle technique d’Hervier, au piano comme à l’orgue Hammond. Après avoir titillé Schuman, notre homme revient à des auteurs plus habituels sur les rivages du jazz (Cédar Walton, Dizzy Gillespie) et à ses propres compositions. (…) Une nouvelle réussite du label rochelais Cristal Records. (…) » 
     Yann Mens – la Croix (du 18 décembre 2010)

« Antoine Hervier Trio, Juste à l’heure (…)
Ce trio, avec Guillaume Souriau (b) et l’excellent Vincent Frade (dm), swingue comme il faut, de rythmes bossa en bon vieux ternaire, arrangeant malicieusement les standards ou Robert Schumann et invitant Costel Nitescu (vln) ou Géraldine Laurent qui lui fait donner le meilleur de lui-même. » 
     Jazz Magazine (d’octobre 2010)

Juste à l’heure – Antoine Hervier trio – Cristal Records / Rue Stendhal
« « En voilà du bon jazz », me disait récemment un ami devant la scène du Nice Jazz Festival (…) Le pianiste et organiste qui donne son nom à la formation et possède un sens du swing et un touché exceptionnel, s’entoure de Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade à la batterie, et accueille la saxophoniste Géraldine Laurent, et le violoniste Costel Nitescu. Entre compos personnelles et reprises (Manteca de Dizzy Gillespie, Midnight Waltz de Cedar Walton, Tzigane Tango d’Astor Piazzola, Kinderszenen opus 15 de Schuman…) énergisées et tournées façon Hervier trio, l’album est d’une écoute ludique, agréable et à la fois très riche (…).
On retiendra notamment l’intro du 3ème morceau, I Hear Music, véritable chef d’œuvre ».
     Rafael FARDOULIS Le Patriote (du 17 au 23 septembre 2010)

« * I hear music : après l’intro mystérieuse par Costel Nitescu, le rythme s’emballe et le violoniste installe progressivement le thème. Derrière, l’orgue Hammond d’Antoine Hervier – à ne pas confondre avec son confrère Antoine Hervé – grogne, feule et geint, avant de se lâcher en un ébouriffant solo. Quand le jazz part, comme ça, en fusées de feu d’artifice, on se dit « Mais pourquoi je n’ai pas appris l’orgue ou le violon, moi aussi ? » Autres grands moments de l’album, ceux où le sax alto de Géraldine Laurent dialogue avec le piano ou l’orgue d’Hervier. 
Juste à l’heure, Antoine Hervier trio & Guests (Cristal Records) ». 
     Musique – Bonheurs de rentrée – Le Républicain Lorrain (septembre 2010)

« Juste à l’heure. Antoine Hervier Trio & Guests (Cristal Records) 
A l’orgue ou au piano, Antoine Hervier n’a pas deux mains gauches, son doigté est précis, net, puissant et sait se faire velouté quand la mélodie file la parfaite romance. Epaulé par ses deux compères Guillaume Souriau à la contrebasse et Vincent Frade aux percussions, le trio virevolte sur un jazz frais, du Hervier ou des reprises. Ce disque fort bien enregistré explose de sonorités et de qualités de bout en bout. (…) C’est simple, c’est du jazz pétri à la passion qu’on déguste avec la banane. Bravo ! » 
     La Savoie (du 10 septembre 2010)


«  Le style de Hervier est d’une grande clarté et précision avec une main gauche d’une solidité qui n’est pas toujours l’apanage des pianistes jazz. Par ailleurs, il joue avec une bien belle décontraction, un relâchement qui va évidemment dans le sens du swing. »
    Henri Marchal


«  Cette musique swingue : elle est  pleine de vie (…) Du bon, du solide sur lequel les trois compères improvisent avec aisance. Antoine Hervier est un jeune pianiste qui maîtrise bien le langage du jazz et possède une belle musicalité. Sa manière d’exposer les thèmes révèlent une réelle maîtrise dans les ballades, exercice difficile. »
    Félix W.Sportis – Jazz Hot (n°604 – oct. 2003)


« Pour une surprise c’est une surprise et une bonne : un VRAI trio qui, dès les premières mesures permet de découvrir un pianiste qui a du jazz plein les mains (…) le résultat est un très beau disque sans point faible. »

    Jean-Marc Berlière – Jazz Classique (n°23 – nov .2002)